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Ce qu’il faut retenir
- Michelle Auger: Le SFDR est une législation de l’Union Européenne (UE) traduisant la volonté politique de cette dernière de faire le lien entre finance et développement durable. L’objectif premier du règlement est d’accroître la transparence et les informations concernant les activités des entreprises et de mieux communiquer sur l’orientation « durable » de leurs projets. Nous envisageons sa mise en œuvre de manière réfléchie et stratégique. Lors de la première phase, nous allons commercialiser un plus petit nombre de fonds axés sur le développement durable qui nous inspirent de fortes convictions. Ces fonds relèveront de l’article 8 et de l’article 9.
- David Zahn : Nos clients percevront l’accent mis sur l’amélioration des performances de nos fonds en matière de développement durable, et le SFDR nous aide à nous inscrire dans ce cadre. D’une manière générale, nous gérons déjà notre gamme de solutions obligataires européennes de manière durable et nos produits intègrent pleinement les critères ESG. Le fait que chacun comprenne exactement ce que nous faisons sera à mon avis bénéfique pour tous. Tout sera clairement repris noir sur blanc dans les prospectus des fonds.
- David Sheasby: Pour le marché, la transparence et l’authenticité sont au cœur de la démarche du SFDR. Je pense que le règlement lèvera efficacement le voile sur ce que font les gérants d’actifs – en ce qui nous concerne, c’est déjà en grande partie le cas. Le SFDR ne cherche pas à changer ce que nous faisons, mais à formaliser nos actions, à réfléchir au langage qui doit être utilisé dans les prospectus et à la façon dont il doit être formulé de manière homogène.
- Guy Janssens: Le SFDR revêt une grande importance pour nous. Il y a quelques années, nous avons pris la décision, à l’échelle de notre entreprise, d’être durables à 100 % ; l’intégralité de notre activité en matière de fonds et d’ETF devrait relever des articles 8 et 9 dans quelques années, et nous sommes actuellement dans une phase de transition. Nous nous réjouissons de cette évolution et attendons avec enthousiasme les efforts des autres gérants d’actifs.
Bérengère Blaszczyk : Qu’est-ce que le règlement sur la publication d’informations en matière de finance durable (SFDR) ? Mme Auger, à vous l’honneur.
Michelle Auger : Le SFDR est une législation de l’Union Européenne (UE) traduisant la volonté politique de cette dernière de faire le lien entre finance et développement durable. L’objectif premier du règlement est d’accroître la transparence et les informations concernant les activités des entreprises et de mieux communiquer sur l’orientation « durable » de leurs projets. D’une certaine façon, on pourrait dire qu’avec ce règlement, l’UE part en guerre contre « l’écoblanchiment ». Franklin Templeton se félicite de l’adoption du règlement de l’UE sur la publication d’informations en matière de finance durable (SFDR), qui constitue une étape essentielle vers plus de transparence et d’authenticité dans la façon dont les investisseurs abordent l’ESG et le développement durable.
Ce règlement est davantage fondé sur des principes que sur des prescriptions précises. C’est pourquoi nous avons adopté une approche globale réfléchie et stratégique.
Il ne s’agit que d’un début. Le secteur va devoir produire d’autres rapports, publier d’autres informations en vertu d’une législation secondaire connue sous le nom de norme technique réglementaire, qui contient des directives supplémentaires. À l’instar des autres acteurs du secteur, nous nous efforcerons de nous aligner sur ces consignes, ce qui devrait nous occuper un certain temps.
Bérengère Blaszczyk : Comment Franklin Templeton s’y est-il préparé ?
Michelle Auger : Comme je l’ai mentionné, nous avons convenu d’adopter une approche plus réfléchie et stratégique. Ainsi, lors de la première phase de notre application du SFDR, nous allons commercialiser un plus petit nombre de fonds axés sur le développement durable qui nous inspirent de fortes convictions. Ces fonds relèveront de l’article 8 et de l’article 9. Et pour ce qui est des implications pour nos clients, nos équipes juridiques et de marketing ont fait un excellent travail. Elles ont œuvré sans relâche ces derniers mois afin de préparer ces documents précontractuels et les supports marketing associés. Les prospectus ont été déposés et les informations à publier sur notre site Internet sont prêtes. Les documents de marketing ont été examinés et sont conformes aux nouvelles exigences de publication d’informations.
Bérengère Blaszczyk : M. Janssens, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur la façon dont vous vous êtes adaptés au SFDR chez BNP ?
Guy Janssens : Le SFDR revêt pour nous une grande importance. Il y a quelques années, nous avons pris la décision, à l’échelle de notre entreprise, d’être durables à 100 %. Notre objectif était que l’intégralité de notre activité en matière de fonds et d’ETF relève des articles 8 et 9 en l’espace de quelques années, et nous sommes actuellement dans une phase de transition. Cela signifie que tous nos produits doivent intégrer les politiques d’exclusion, prendre en compte les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et notre engagement, ce qui est très important. Et bien sûr, la communication des informations. Les labels belges imposent d’importantes publications d’informations aux sociétés de gestion d’actifs. L’Europe va par ailleurs un peu plus loin en matière de divulgation au niveau des produits. Nous nous félicitons ainsi qu’il existe un cadre européen, car nous travaillons au sein du groupe BNP, qui est une banque européenne. Ce cadre contribuera à l’amélioration de la liquidité et de la gamme des produits parmi lesquels nous pouvons choisir en Belgique. Nous nous réjouissons donc de cette avancée et nous sommes impatients de découvrir les efforts également déployés par Franklin Templeton et par d’autres gérantsd’actifs en vue de fournir davantage d’informations et de développer des produits en rapport avec les articles 8 et 9.
Bérengère Blaszczyk : M. Zahn, quel est l’impact du SFDR sur votre vie en tant que gérantde portefeuilles obligataires européens ?
David Zahn : La mise en œuvre de ce règlement de l’UE s’est apparentée à une évolution naturelle pour notre gamme de produits européens. En effet, cela fait déjà quelque temps que nous gérons globalement notre gamme de solutions obligataires européennes de manière durable. A cet égard, nous avons été particulièrement honorés que certains de nos fonds aient reçu des labels tels que Febelfin, qui constituent une validation et une reconnaissance de notre processus ESG. De ce point de vue, nous avons donc déjà pleinement intégré les critères ESG à nos produits. Nous avons déjà mis en place de nombreuses exclusions et ce, depuis plusieurs années. Nous sommes actuellement en train de formaliser cette nouvelle approche dans nos prospectus – nous l’avions déjà formalisée en partie, mais pas en totalité. C’est plutôt une question de régularisation, pour que tout le monde comprenne bien ce que nous faisons. Cela dit, le fait de vouloir entrer – ou d’y être contraint – dans le cadre de l’article 8 ou de l’article 9 ne constitue pas pour moi un objectif final. Il s’agit plutôt du voyage entamé par nos fonds vers une plus grande durabilité, un voyage que nous voulons poursuivre. Je pense que nos clients percevront surtout l’accent mis sur l’amélioration des performances de nos fonds en matière de développement durable, peut-être en réduisant la quantité de carbone qu’ils émettent par rapport à des fonds obligataires traditionnels.
Je pense que le SFDR nous aide à nous inscrire dans un cadre, de sorte que tous les autres acteurs doivent se comporter comme nous le faisions déjà s’ils veulent vendre dans ce domaine. Cette démarche nous est par conséquent très bénéfique et même s’il y aura forcément des problèmes de mise en route, elle me paraît globalement utile pour que le public puisse comprendre exactement ce que nous faisons. Tout sera clairement repris noir sur blanc dans les prospectus des fonds, plutôt que dans nos systèmes internes ou nos présentations. J’espère également que le règlement apportera une certaine homogénéité plutôt que des pratiques propres à chaque pays. L’idée est d’aboutir à une approche complètement holistique, ce qui me semble très important pour nous-mêmes, mais aussi pour nos clients.
Bérengère Blaszczyk : M. Sheasby, avez-vous une vision différente de l’impact probable du SFDR sur les marchés financiers, du point de vue des actions ?
David Sheasby : À mes yeux, le SFDR sera vraiment un vecteur de transparence et d’authenticité pour le marché, et je suis ravi de cette évolution. Je pense que le règlement lèvera efficacement le voile sur ce que font les gérantsd’actifs – et pour ce qui est des marchés d’actions, je trouve que c’est largement le cas.
Martin Currie intègre les critères ESG à ses processus depuis plus d’une dizaine d’années maintenant, sous la houlette des gérantsde portefeuille et des analystes. En tant qu’investisseurs à long terme, l’engagement et l’actionnariat actif sont pour nous des priorités. La dimension ESG est une composante essentielle de notre façon d’investir. À ce titre, une partie de ce que nous faisons au fur et à mesure que les règlements sortent, c’est de réfléchir avec les gérantsde portefeuille à la façon de formaliser certaines des pratiques qui sont déjà les nôtres. C’est le vrai sujet du SFDR — il ne s’agit pas de changer ce que nous faisons, mais de formaliser nos actions, réfléchir au langage qui doit être utilisé dans les prospectus et à la façon dont nous pouvons organiser tout cela de manière homogène dans le système des prospectus.
Pour l’essentiel, toutes les stratégies de Martin Currie en leur état actuel sont classées dans la catégorie de l’article 8 au regard des critères, de sorte que le SFDR est vraiment un reflet de ce que nous faisons déjà. Pour reprendre la métaphore utilisée par David, il ne s’agit que d’une étape dans ce voyage, et non d’une destination. De nouvelles informations seront requises sur une base continue. Et l’article 9, par exemple, pourrait potentiellement être considéré comme une catégorie différente et plus spécialisée. De tels aspects sont très intéressants s’agissant du développement futur du marché, et le potentiel que cela représente en Europe est pour nous un réel motif d’enthousiasme. En tant qu’investisseurs mondiaux, nous considérons que le SFDR servira peut-être de référence aux autres marchés réfléchissant à faire évoluer leur approche.
Bérengère Blaszczyk : M. Janssens, je serais curieuse d’en savoir un peu plus, grâce à vous, sur l’évolution récente des besoins ESG des clients particuliers sous-jacents.
Guy Janssens : Votre question me paraît très intéressante car si vous discutez avec les clients de la durabilité, des labels verts, SFDR et Febelfin, tous s’accordent à dire qu’ils veulent des investissements plus durables. Mais le point le plus important concerne la performance. La question est la suivante : si vous intégrez les critères ESG et si vous transformez votre offre de produits pour passer de l’article 6 ou 8 à l’article 9, comme nous le faisons, y aura-t-il un impact négatif sur la performance, dans la mesure où il faut combiner l’exigence de durabilité et la génération d’une bonne performance ?
Nous avons pu observer l’année dernière, avec la crise de la COVID-19, que l’intégration des critères ESG et les fonds relevant des articles 8 et 9 se sont très bien comportés, mais pas dans la totalité des secteurs ou sous-secteurs. Ainsi, en Europe et à la BNP, nous allons être plus durables – ce qui est une très bonne chose – mais les clients viennent nous voir pour obtenir de la performance. Certains pourraient s’interroger sur l’existence d’une corrélation négative entre durabilité et performance, et c’est une objection que nous allons devoir traiter. Par ailleurs, nous ne connaissons pas encore le niveau d’engagement et de motivation des clients. Les perspectives nous inquiètent un peu, car nous savons que les clients aiment l’idée du développement durable, mais pas nécessairement à n’importe quel prix. Nous devons donc trouver des solutions adaptées, qui combinent durabilité avec des performances et un profil risque/rendement attractifs. Je suis convaincu que l’intégration des critères ESG réduira le risque dans un portefeuille d’obligations et améliorera également le rapport risque/rendement dans un portefeuille d’actions, mais il s’agit là d’un effet à plus long terme. Les clients de la banque privée, ceux pour lesquels je travaille principalement dans ce domaine, n’ont généralement pas une vision à long terme. Dans certains secteurs du marché – les matières premières et l’or par exemple – les produits auront une vraie difficulté à se conformer aux articles 8 et 9, mais ont connu des périodes de forte performance.
Bérengère Blaszczyk : M. Zahn, qu’en pensez-vous du point de vue de la gestion obligataire ?
David Zahn : Si nous constatons une augmentation de la demande de solutions d’investissement ESG, la performance reste une question déterminante pour les clients en général. Ainsi, l’intégration des critères ESG, l’engagement au niveau obligataire sont incroyablement importants, mais nous voulons également nous pencher sur le profil risque/rendement. Pour nous, l’intégration des critères ESG va au-delà d’une approche consistant simplement à dire : « nous allons acheter les meilleurs produits de leur catégorie dans tous les domaines ». Nous excluons certes les plus mauvais élèves de la classe, mais ce que nous recherchons vraiment, ce sont des entreprises ou des pays qui ont reconnu avoir un problème avec une partie des critères « E » ou « S » – mais généralement pas avec les critères « G » – car sans gouvernance, les autres critères ne fonctionnent pas. Le point essentiel est de savoir si les entreprises ont réellement élaboré un plan pour commencer à remédier à leur problème. Je pense que c’est dans ce type de configuration que vous pouvez avoir un impact en tant qu’investisseur, mais aussi que vous pouvez générer de l’alpha. Il s’agit de générer de l’alpha en respectant les contraintes, mais aussi d’essayer de faire évoluer les entreprises et les pays dans la direction qui sera la plus bénéfique, non seulement pour eux, mais aussi pour les investisseurs.
Bérengère Blaszczyk : En plus du SFDR, nous faisons face à une vague d’autres réglementations ESG, qui ne se fondent pas nécessairement sur les mêmes critères. Ainsi, en tant que gérant d’actifs, nous devons composer avec de nombreuses forces divergentes et nous en tenir à une seule théorie, à savoir notre vision de l’ESG et l’adapter à nos clients, mais c’est un exercice parfois relativement périlleux. Qui aimerait discuter un peu plus de cela, et de la manière dont nous abordons non seulement le SFDR mais le SFDR dans le contexte élargi de l’ensemble des tendances ESG que nous observons dans toute l’Europe ?
Michelle Auger : Pour faire écho à ce que David Sheasby a dit précédemment sur l’importance de rester authentique et fidèle à notre propre philosophie d’investissement, je dirais qu’il s’agit de notre « étoile polaire », c’est-à-dire ce dont nous avons besoin, ce dont nous sommes convaincus et le point de vue que nous défendons en termes de durabilité. Nous sommes conscients qu’il y aura d’autres réglementations à venir, y compris en Asie et au Royaume-Uni. En outre, comme nous l’avons évoqué, les labels mis en place dans différents pays gagnent en popularité. Chez Franklin Templeton, nous voulons, parallèlement à ces avancées, poursuivre le dialogue avec nos clients en vue de déterminer leurs priorités les plus importantes et de pouvoir ainsi continuer à leur offrir nos services.
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