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Actions américaines : des opportunités parmi les turbulences

Grant Bowers, portfolio manager au sein du Franklin Equity Group, partage ses prévisions sur les risques d’inflation et de récession et nous fait part des opportunités qu’il décèle parmi les actions américaines malgré la récente volatilité du marché.

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Principales conclusions :

  • Nous pensons que la croissance des bénéfices du S&P 500 va probablement se trouver confrontée à des pressions au cours du second semestre, mais qu’elle devrait rester positive en 2022.
  • Selon notre analyse, les actions américaines continuent de se négocier avec une prime par rapport aux autres marchés. Nous pensons que ces valorisations relatives plus élevées témoignent d’une meilleure rentabilité des entreprises, d’un meilleur rendement des capitaux propres et d’une croissance plus robuste par rapport aux marchés boursiers d’autres régions du monde.
  • Les tendances de croissance séculaires à long terme, telles que l’innovation dans la santé, la transformation digitale et l’essor des fintechs restent profondément pertinentes même si la croissance économique se tempère. Nous pensons qu’elles favoriseront probablement la productivité et la rentabilité des entreprises opérant dans ces secteurs intégraux.
  • Nous estimons que les entreprises combinant de solides positions concurrentielles, un fort pouvoir de fixation des prix et des finances saines devraient obtenir de bons résultats quel que soit l’environnement de marché.
  • Nous sommes persuadés que la surperformance résulte de l’identification des gagnants à long terme plutôt que du timing des transactions à court terme sur le marché. À ce titre, nous considérons la volatilité actuelle comme une opportunité d’achat importante.

Perspectives économiques américaines actuelles

Les marchés mondiaux sont à la croisée des chemins et reflètent de profondes inquiétudes liées à l’inflation, aux taux d’intérêt, à la modération de la croissance économique et aux intenses incertitudes géopolitiques que connaît l’Europe du fait de la guerre russo-ukrainienne et de ses répercussions potentielles. L’humeur du marché a subi des fluctuations spectaculaires, passant de pics haussiers en 2021 à des niveaux extrêmement baissiers ces dernières semaines. De fait, les indicateurs du sentiment sont proches des plus bas de 2009. C’est remarquable si l’on considère qu’à l’heure actuelle, l’économie est certainement plus vigoureuse qu’en 2009, à l’époque où l’économie américaine subissait l’impact d’importants déséquilibres financiers et où le marché immobilier implosait.

Selon nous, les indicateurs de sentiment reflètent les difficultés économiques anticipées et la crainte d’une possible révision à la baisse des estimations de bénéfices consensuelles au cours des prochains trimestres. Pour résumer, nous pensons que la croissance des bénéfices du S&P 500 sera mise sous pression au cours du second semestre, mais qu’elle devrait rester positive en 2022.

Les valorisations se sont rapidement contractées au cours des six derniers mois ; le ratio cours/bénéfices (C/B) à terme de l’indice S&P 500 est revenu aux niveaux d’avant la crise sanitaire et se négocie à environ un écart-type en dessous de sa moyenne des cinq dernières années. La compression des multiples a largement contribué à accroître la pression sur les cours des actions, car les hausses des taux d’intérêt ont affecté les taux d’actualisation et, par conséquent, réduit ce que les investisseurs sont prêts à payer pour les bénéfices futurs. Bien que cela se justifie jusqu’à un certain point, il est à noter que la rentabilité et la capacité bénéficiaire de nombreuses entreprises restent intactes et que les rapports sur les bénéfices ont été résilients dans de nombreux secteurs. Selon nous, la volatilité récente a créé, sur les marchés, des opportunités intéressantes pour les investisseurs à long terme qui sont capables de voir au-delà des turbulences actuelles et de se concentrer sur l’opportunité de croissance des années à venir.

Selon notre analyse, les actions américaines continuent de se négocier avec une prime par rapport aux autres marchés. À nos yeux, ces évaluations relatives plus élevées traduisent une meilleure rentabilité des entreprises, un meilleur rendement des capitaux propres et une croissance plus robuste par rapport aux marchés des actions d’autres régions du monde.

Alors que les hausses de taux d’intérêt peuvent ralentir l’économie et entraîner des ralentissements inhérents à une récession, les marchés d’actions ont historiquement bien performé dans des environnements de taux d’intérêt en hausse. Au cours des huit derniers cycles de hausse des taux remontant au début des années 1990, le S&P 500 a généralement fléchi avant et pendant la première hausse des taux d’intérêt ; mais à mesure que le rythme du resserrement budgétaire devenait plus transparent et prévisible, les marchés d’actions ont eu tendance à bien se comporter. Si l’on examine les derniers mois, le marché a suivi son modèle historique, mais avec un degré plus élevé de volatilité baissière.

Les tendances de croissance séculaires à long terme, telles que l’innovation dans les soins de santé, la transformation numérique et l’essor des fintechs, restent intactes. Ces tendances ont clairement bénéficié du contexte du Covid, mais elles restent profondément pertinentes même si la croissance économique se tempère. Nous pensons qu’elles favoriseront probablement la productivité et la rentabilité des entreprises opérant dans ces secteurs intégraux.

Perspectives en matière d’inflation : certaines pressions pourraient s’atténuer

Nous pensons que les États-Unis ont probablement dépassé le pic inflationniste, mais les niveaux d’inflation de base pourraient rester obstinément élevés pendant un certain temps. Cependant, nous pensons que cette tendance devrait s’atténuer à mesure que les problèmes d’approvisionnement se résorbent et que la demande réfrénée se normalise. Dans l’état actuel des choses, nous avons déjà constaté un certain repli modéré des prix des matières premières, notamment du pétrole, du bois et du cuivre, par rapport à des niveaux très élevés, ce qui devrait atténuer quelque peu la pression inflationniste.

Il est important de noter que les mesures de l’inflation, telles que l’indice des prix à la consommation (IPC) et les dépenses de consommation personnelle (PCE) sont des indicateurs tardifs comportant d’importantes composantes rétrospectives. Les composantes plus prospectives de l’inflation semblent indiquer une certaine modération. Les prix des maisons se sont tempérés aux États-Unis et les ventes de maisons ont ralenti de manière significative. L’inflation des salaires a ralenti, et nous avons commencé à observer des licenciements dans certaines entreprises, des signes précoces qui montrent que le marché du travail se redimensionne. Le retard dans le secteur automobile, qui était principalement dû à des problèmes de chaîne d’approvisionnement, a commencé à se résorber et les livraisons d’automobiles ont augmenté. Les prix de l’énergie ont également reculé par rapport à leurs récents sommets. Globalement, nous pensons que ces éléments devraient créer un environnement propice à la modération des pressions inflationnistes, même si les effets ne se manifesteront qu’avec un certain décalage dans les indicateurs d’inflation globale et de base.

Selon nous, d’un point de vue directionnel, l’inflation devrait continuer à s’améliorer au second semestre et pourrait se modérer plus rapidement que ne le prévoient les acteurs du marché. Cela pourrait être un avantage net pour les actifs à risque, car cela signifie que la Réserve fédérale américaine (Fed) pourrait ne pas devoir agir aussi agressivement qu’elle l’avait prévu face au ralentissement de la dynamique économique. Nous pensons que l’inflation va se modérer, mais il est fort probable qu’elle n’atteindra pas l’objectif des 2% d’inflation PCE de base de la Fed. Au lieu de cela, elle pourrait osciller autour d’une fourchette de 2 % à 3 % pendant un certain temps, reflétant les aspects les plus tenaces de l’inflation qui pourraient ne pas se dissiper rapidement. Cette situation maintiendra la pression sur la Fed, dans la mesure où elle pourrait conserver les paramètres de sa politique plus longtemps.

En l’état actuel des choses, nous voyons déjà les effets de la hausse des taux d’intérêt se répercuter sur les taux hypothécaires, ceux des prêts automobiles et les autres taux de crédit à la consommation, ce qui pourrait freiner davantage la demande globale face à une croissance déjà modérée. Le défi pour la Fed sera de calibrer les paramètres de la politique monétaire de sorte qu’elle soit suffisamment stricte pour freiner l’inflation, mais pas au point de déclencher une récession longue et profonde. Organiser un atterrissage en douceur n’a rien d’une sinécure.

La probabilité d’une récession sévère semble faible

Nous pensons que la probabilité d’une récession sévère en 2022 est faible. Bien que plus fragiles que l’année dernière, les conditions économiques sous-jacentes aux États-Unis restent saines selon nous. Deux piliers de l’économie américaine semblent résilients : d’une part, les bénéfices des entreprises sont restés relativement robustes, et de l’autre, les bilans des consommateurs sont solides et les ratios du service de la dette restent faibles. Cela dit, la croissance des bénéfices pourrait ralentir et nous sommes susceptibles d’assister à une modération de la croissance du produit intérieur brut (PIB) à partir d’une base assez élevée en glissement annuel.

Tant que le marché du travail reste sain, avec un taux de chômage qui oscille entre 3 % et 4 %, il est difficile d’imaginer que nous entrions dans une récession qui ne soit pas superficielle. Une récession technique, avec deux trimestres de croissance négative du PIB au cours de l’année prochaine est assurément possible, mais à notre avis, elle sera probablement peu profonde et de courte durée.

Opportunités sectorielles

Nous disposons d’une base qualitative et nous nous concentrons principalement sur les entreprises combinant de solides positions concurrentielles, un fort pouvoir de fixation des prix et des finances saines, car nous pensons que ce sont celles qui obtiennent de bons résultats quel que soit l’environnement de marché. Notre concentration sur les grands thèmes séculaires, comme la transformation digitale et l’innovation en matière de santé, nous conduit invariablement vers des acteurs de croissance établis et émergents dans divers secteurs.

Les entreprises du monde entier s’efforcent d’améliorer leur productivité, de réduire leurs coûts, de trouver des moyens d’élargir leur portée et d’approfondir les relations avec leurs clients. Tout cela nécessite souvent des investissements dans les technologies digitales, les applications numériques, les logiciels et le matériel. Nous continuons à constater une forte demande de facilitateurs technologiques de la part des entreprises de divers secteurs. Les perspectives pour les dépenses digitales restent prometteuses, car pour de nombreuses entreprises après le Covid, l’investissement dans les capacités numériques a progressé dans l’échelle des besoins.

Nous pensons que la récente correction du marché due aux taux a injustement pénalisé certains acteurs technologiques. Nombre d’entre eux ne sont pas rentables et cet état de fait devrait rester inchangé sur le court terme. Étant donné qu’ils en sont à l’aube de leur croissance, il est compréhensible qu’ils se concentrent sur les dépenses à engager pour saisir les immenses opportunités du marché correspondant à leurs produits à mesure qu’ils développent leur activité. En tant qu’investisseurs actifs et fondamentaux qui se concentrent sur le bottom-up, nous continuons à distinguer des fondamentaux sains au sein de certaines de ces entreprises. Elles connaissent une croissance rapide et poursuivent leurs acquisitions de clients à un rythme soutenu. Leurs activités présentent certains aspects viraux et les clients existants dépensent également davantage sur leurs plateformes.

Cela étant, nous continuons à faire preuve de discernement quant à notre exposition, en privilégiant les logiciels par rapport au matériel du fait de leur résistance aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement, et en préférant les entreprises aux consommateurs étant donné qu’elles constituent une source fiable de demande et sont susceptibles de dépenser davantage en technologie. Nous prêtons aussi une attention soutenue à l’économie des unités en termes de coût d’acquisition d’un client et de retour sur cet investissement. Ce sont les entreprises qui, selon nous, connaîtront une croissance rayonnante avec le temps et deviendront les leaders de la prochaine génération dans leurs secteurs respectifs.

Atteindre un équilibre

Nous recherchons un bon équilibre entre des entreprises établies, cohérentes, de premier plan, de marque, les meilleures de leur catégorie, et une exposition aux leaders de la prochaine génération. À cette fin, nous nous appuyons en grande partie sur nos capacités de recherche fondamentale bottom-up et nous faisons appel à notre équipe interne d’analystes pour découvrir des entreprises prometteuses qui ont le potentiel de devenir des leaders du marché. Le fait d’entretenir un dialogue constant avec les entreprises que nous détenons nous aide également à discerner les gagnants potentiels susceptibles d’émerger dans différents secteurs.

En tant qu’investisseurs sur le long terme, nous avons généralement une vision sur trois à cinq ans lorsque nous évaluons les opportunités. Finalement, nous sommes persuadés que la surperformance peut résulter de l’identification de ces gagnants à long terme plutôt que du timing des transactions à court terme sur le marché. À ce titre, nous considérons la volatilité actuelle comme une opportunité d’achat convaincante.

La performance spectaculaire des actions technologiques des méga-capitalisations (sociétés dont la capitalisation boursière est supérieure à 200 milliards de dollars), notamment Apple, Alphabet et Microsoft, par rapport à l’indice S&P 500 plus large, a été une caractéristique déterminante de l’environnement du marché depuis le début de la pandémie de Covid-19. Ces trois noms continuent à représenter environ un sixième du S&P 500 en termes de capitalisation boursière.

Bien qu’il s’agisse d’entreprises de premier plan, nous pensons qu’il existe en dehors de ces acteurs de nombreuses opportunités qui offrent un potentiel convaincant de génération d’alpha. Nous pensons que l’ensemble des opportunités en dehors de ces méga-capitalisations est vaste et robuste et que la véritable opportunité pour les investisseurs actifs en actions est de trouver des « perles cachées » qui possèdent le potentiel pour devenir la prochaine génération de leaders du marché.

Sonder le plancher du marché

Nous ne nous concentrons ni ne nous appuyons sur un indicateur en particulier pour deviner ou prédire la prochaine orientation du marché. Nous observons généralement une série d’indicateurs pour mieux appréhender son environnement.

Historiquement, un sentiment excessivement baissier tend à signaler de bonnes opportunités d’achat. Des chutes de plus en plus faibles sur le marché boursier en réponse à de nouvelles informations défavorables nous indiquent souvent qu’un grand nombre de mauvaises nouvelles sont déjà intégrées dans les cours. Nous commençons à observer ce phénomène dans des secteurs comme la technologie. Au cours du prochain trimestre, toute révision négative des bénéfices pourrait confirmer cette hypothèse. La réaction des entreprises qui ne respectent pas les estimations de bénéfices ou qui fournissent des prévisions négatives sur les bénéfices, les coûts et la croissance du chiffre d’affaires peut donner un aperçu des résultats que le marché a déjà anticipés.

Au niveau macroéconomique, une modération durable des indicateurs d’inflation prospectifs sera cruciale pour déterminer la limite supérieure potentielle des taux d’intérêt, car elle offre à la Fed une certaine marge de manœuvre pour ralentir le rythme du resserrement de sa politique monétaire. Du point de vue directionnel, cela signifie moins d’obstacles et plus de facteurs positifs pour les actifs à risque comme les actions.

Pour l’instant, nous pensons qu’il est trop tôt pour parler d’un creux de marché, même si nous pensons que nous en sommes proches. Les valorisations sont très favorables pour de nombreuses entreprises, et les perspectives de croissance et de bénéfices ont été considérablement redéfinies au cours des six derniers mois, non seulement pour les actions, mais aussi pour de nombreuses classes d’actifs.

QUELS SONT LES RISQUES ?

Tout investissement comporte un risque, notamment celui de ne pas récupérer le capital investi. La valeur des investissements peut fluctuer à la baisse comme à la hausse et les investisseurs ne sont pas assurés de récupérer la totalité de leur mise initiale. Les cours des actions fluctuent, parfois rapidement et drastiquement, en raison de facteurs affectant les entreprises individuelles et certains secteurs ou sous-secteurs, ou des conditions générales de marché. Le secteur des technologies peut être sérieusement touché par l’obsolescence de la technologie actuelle, des cycles de produit courts, une baisse des cours et des bénéfices, la concurrence de nouveaux acteurs sur le marché ainsi que par les conditions économiques générales. Les placements dans des secteurs à forte croissance tels que la technologie et la santé (historiquement volatils) peuvent connaître des fluctuations boursières accrues, particulièrement à court terme, en raison de la rapidité de l’évolution et du développement de produits et de l’évolution de la réglementation des sociétés, dans le sillage des avancées scientifiques ou technologiques ou des approbations réglementaires de nouveaux médicaments et instruments médicaux. Les entreprises et/ou les études de cas mentionnées ici sont utilisées uniquement à des fins d’illustration ; tout investissement peut ou non être détenu par tout portefeuille conseillé par Franklin Templeton. Les informations fournies ne constituent ni une recommandation ni des conseils individuels en investissement pour tout titre, stratégie ou produit de placement spécifique. Elles n’indiquent pas les intentions de négociation de tout portefeuille géré par Franklin Templeton.

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